Ephéméride
Madeleine-Sophie
25 mai

Née dans une famille de vignerons de Joigny (Yonne) en 1779, Madeleine-Sophie Barat fonde la société du Sacré-Cœur pour l'éducation des jeunes filles de bonne famille. L'institution connaîtra un très rapide essor et contribuera à la reconquête religieuse dans la France post-révolutionnaire.

Source Hérodote

6e jour du mois de Prairial dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de la mélisse. tp-0157pre

4e jour des Gémeaux.

Journée mondiale

Journée Mondiale des enfants disparus
       Journée mondiale de la serviette
       Journée Mondiale de l'Afrique

Journée internationale

Journée internationale des Geek

Fête Nationale d'Argentine

Prénoms du jour

Bonne fête aux Sophie, ses variantes Sofia, Sonia et Sophia et sa forme masculine Sophien.
et aussi aux Bède et son dérivé Beddy.
Nadège et ses variantes Nadia, Nadine, Nadette, etc.
Urvan.

Elles se prénomment aussi Sophie

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Elles se prénomment aussi Nadia

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Événements

  • 1085 : Alfonso VI de Castille enlève Tolède
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    Le roi de Castille Alfonso VI enlève Tolède aux musulmans. C'est une étape décisive dans la « Reconquista » (Reconquête en espagnol) par laquelle les rois chrétiens des contreforts pyrénéens ont entrepris trois siècles plus tôt de chasser les musulmans de la péninsule ibérique.

    Mais ce premier grand succès inaugure un conflit avec les « mozarabes ». Ces chrétiens de culture arabe sont en effet peu disposés à supporter les manières de leurs nouveaux maîtres...

  • 1720 : Le retour de la peste à Marseille
  • Un navire, le Grand-Saint-Antoine, entre dans le port de Marseille. Il ramène de Syrie un passager clandestin, le bacille de la peste. En quelques mois, la ville de Marseille va perdre la moitié de ses 100 000 habitants.

    Parmi les secouristes s'illustrent l'évêque Henri-François-Xavier de Belsunce de Castelmoron et le chevalier Nicolas Roze...

  • 1787 : Convention à Philadelphie
  • Peu après la fin de la guerre d'Indépendance qui a chassé les Anglais de leurs treize colonies d'Amérique, une Convention s'ouvre à Philadelphie. Les représentants des treize nouveaux états se réunissent pour se donner une Constitution fédérale. Malgré leur désir d'autonomie, les états comprennent la nécessité de resserrer leurs liens mais il leur faudra quatre ans pour aboutir...

  • 1810 : Révolution de Mai en Argentine
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    Les bourgeois de Buenos Aires chassent le vice-roi d'Espagne Baltasar Hidalgo de Cisneros, qui a le tort de représenter Joseph Bonaparte, le roi imposé par Napoléon 1er. Ils lui substituent une « junte » destinée à gouverner la colonie... C'est la « Revoluciòn de Mayo ». La même année, dans toute l'Amérique hispanique, se multiplient les révoltes contre la métropole...

  • 1846 : Évasion de Louis-Napoléon
  • Le prince Louis-Napoléon Bonaparte, neveu de Napoléon 1er, s'évade du fort de Ham, déguisé en ouvrier avec une solive sur l'épaule, après six ans de captivité pour cause de complot contre l'état. Deux ans plus tard, le révolutionnaire sera le premier président de la République française et cinq ans plus tard, il restaurera à son profit le titre d'empereur et régnera sous le nom de Napoléon III !...

  • 1857 : L'akkadien enfin déchiffré
  • Début 1857, la Royal Asiatic Society de Londres remet sous scellés aux Britanniques E. Hincks, W.H.F. Talbot, H.C. Rawlinson et au Français J. Oppert la copie d'une inscription en caractères cunéiformes du roi assyrien Tiglath-phalazar 1er, qui venait d'être découverte, afin qu'ils en réalisent une traduction chacun de leur côté. Le 25 mai 1857, une commission examine leurs travaux et déclare les traductions suffisamment concordantes pour que l'akkadien, langue de communication de la Mésopotamie du IVe au 1er millénaire avant J.C., soit considéré comme enfin déchiffré...

  • 1911 : Révolution au Mexique
  • Au Mexique, le dictateur Porfirio Diaz est renversé. C'est le début d'une longue et douloureuse Révolution...

    Naissances

  • Henri Mouhot
    Né en 1826 à Montbéliard - Décédé le 10 novembre 1861 à Luang Prabang (Cambodge)
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    Né en Franche-Comté dans une famille protestante, il étudie au collège Cuvier de sa ville natale, Montbéliard. À l'âge de 18 ans, il part enseigner le français à l'école militaire de Saint-Pétersbourg.

    Poussé par le goût du voyage et de l'art naissant de la photographie (le daguerréotype), il visite l'Italie et l'Allemagne, puis l'Angleterre, avant de s'établir en 1856 dans l'île de Jersey. Durant cette période il affine ses connaissances en Sciences naturelles et tout spécialement en ornithologie et en conchyliologie.

    Après la lecture d'ouvrages sur les expéditions, notamment The Kingdom and People of Siam : with a narrative of a mission to that country in 1855 de Sir John Bowring (1857), il décide de partir à la découverte du Siam, du Cambodge et du Laos. De Londres, il embarque sur un navire de commerce à voiles, pour Bangkok le 27 avril 1858 avec son chien Tine-Tine.

    Il devient l'ami des rois du Cambodge Ang Duong, qui régna jusqu'en 1860, puis Norodom. Durant l'hiver 1859-60, il explore et fait redécouvrir aux yeux des Occidentaux, le site d'Angkor, ancienne capitale de l'empire khmer.

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    À l'été 1860, Henri Mouhot repart de Bangkok vers le Laos, jusqu'à Luang Prabang où il meurt de la fièvre jaune. C'est un des tous premiers français à visiter cette partie du Laos. Au mois de mai 1867, la commission française envoyée de Saïgon atteignait Luang-Prabang, et le 24 du même mois, le commandant de Lagrée, son chef, écrivait en Europe : « Nous avons trouvé partout ici le souvenir de notre compatriote Mouhot, qui, par la droiture de son caractère et sa bienveillance naturelle, s'était acquis l'estime et l'affection des indigènes. Tous ceux qui l'ont connu sont venus nous parler de lui en termes élogieux et sympathiques. »... ■

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  • Louis Franchet d'Espèrey logo-af.gif
    Né en 1856 à Mostaganem - Décédé le 8 juillet 1942 à Saint-Amancet
  • Militaire des XIXe et XXe siècles. Il est élevé à la dignité de maréchal de France en 1921.

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    Issu d'une famille de tradition légitimiste, né à Mostaganem (Algérie), Franchet d'Espèrey sort de Saint-Cyr en 1876. Affecté au 1er Régiment de Tirailleurs Algériens, le jeune lieutenant fait ses premières armes pendant la campagne de Tunisie de 1881. Après un stage à l'école de Guerre, il part se battre au Tonkin contre les Pavillons noirs. Il prend part en 1900 à l'expédition de Chine contre les Boxers.Pendant la guerre russo-japonaise, il manifeste son soutien à l'armée russe, avec laquelle il avait participé à des manœuvres dans le cadre de l'Alliance franco-russe.

    Il est nommé général de division en 1912, et le général Lyautey lui confie le commandement des troupes du Maroc. Pendant la période difficile des débuts du Protectorat, il prend une part importante à la pacification et à l'organisation du pays.

    Rappelé en France, Franchet d'Espèrey reçoit en novembre 1913 le commandement du 1er Corps d'Armée à Lille. Il se distingue à la bataille des Frontières d'août 1914. Le généralissime Joffre lui confie, le 3 septembre, le commandement de la Ve Armée, en pleine retraite et menacée d'être encerclée et coupée. Franchet d'Espèrey se montre à la hauteur de la situation. Faisant faire demi-tour à ses hommes, il attaque, entraînant à ses côtés l'armée britannique du général French ; il joue un rôle capital dans la décision et l'exécution de la grande bataille. « Son rôle, écrit Joffre dans ses mémoires, em>mérite d'être souligné devant l'histoire. C'est lui qui a rendu possible la victoire de la Marne ». Franchet d'Espèrey commande le groupe d'armées de l'Est en 1916, puis le groupe d'armées du Nord en 1917.

    En juin 1918, il est appelé au commandement en chef des armées alliées à Salonique pour prendre la suite de l'Expédition de Salonique. Il obtient, après une campagne de quatorze jours, la capitulation de l'armée germano-bulgare.

    Ces remarquables années de services lui valent, le 19 février 1921, la dignité de maréchal de France. Il est élu membre de l'Académie française le 15 novembre 1934. ■

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  • Tito
    Né en mai 1892 à Kumrovec (Croatie, Autriche-Hongrie) - Décédé le 4 mai 1980 à Ljubljana (Slovénie, Yougoslavie)
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    Sous le surnom de Tito, Josip Broz milite dans le parti communiste clandestin en Croatie, à partir de 1923. Secrétaire général du parti communiste yougoslave en 1937, il participe à la guerre contre l'occupant nazi après que Hitler ait envahi l'URSS (22 juin 1941). Cela lui vaut d'être proclamé Maréchal ! À la Libération, il renverse la monarchie et établit un régime communiste, sans que les Soviétiques aient eu à occuper le pays comme en Europe centrale.

    Le 29 juin 1948, au terme d'une longue période de tension, le chef charismatique de la République populaire fédérale de Yougoslavie, est exclu du Kominform, le mouvement communiste international, à l'instigation de Staline, qui voit en lui un rival encombrant. La Yougoslavie va dès lors faire bande à part et Tito s'ériger en promoteur du mouvement des non-alignés (ni l'Est pro-soviétique, ni l'Ouest pro-américain)... ■

  • Claude Pinoteau
    Né en 1925 à Boulogne-Billancourt - Décédé le 5 octobre 2012 à Neuilly-sur-Seine
  • Il était un réalisateur et scénariste français.

    Il débute comme accessoiriste et régisseur, puis devient assistant réalisateur dès 1948, notamment de Jean Cocteau (Les Parents terribles), Jean-Pierre Melville (Les Enfants terribles), Henri Verneuil (Un singe en hiver) et de Claude Lelouch (L'Aventure, c'est l'aventure). Il doit attendre 1973 pour réaliser son premier long-métrage, Le Silencieux, avec Lino Ventura, qui sera un succès.

    Après Le Silencieux, il fait à nouveau appel à Lino Ventura à trois reprises pour La Gifle, L'Homme en colère et La Septième Cible. Mis à part les films policiers ou les thrillers, Claude Pinoteau tourne des comédies comme La Gifle, qui obtient le Prix Louis-Delluc, Le Grand Escogriffe et surtout les deux volets de La Boum qui, révélant Sophie Marceau, connaissent à l'époque un énorme succès populaire.

    Dans les années 1990, il se tourne vers le registre dramatique avec La Neige et le Feu et Les Palmes de monsieur Schutz.

    En 2005, il réalise pour la télévision un documentaire consacré à l'abbé Pierre. En 2008, il a reçu le 1er prix Henri-Langlois de la ville de Vincennes... ■

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  • Miles Davis
    Né en 1926 à Alton (Illinois) - Décédé le 28 septembre 1991, à Santa Monica (Californie)
  • tp-4672

    Compositeur et trompettiste de jazz américain.

    Il commence à jouer de la trompette à l'âge de douze ans. Il fut à la pointe de beaucoup d'évolutions dans le jazz et s'est particulièrement distingué par sa capacité à découvrir et à s'entourer de nouveaux talents. Son jeu se caractérise par une grande sensibilité musicale et par la fragilité qu'il arrive à donner au son. Il marque l'histoire du jazz et de la musique du XXe siècle. Beaucoup de grands noms du jazz des années 1940 à 1980 ont travaillé avec lui... ■

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    Décès

  • Grégoire VII (Hildebrand) pf
    Né vers 1020 à Soana (Toscane, Italie) - Décédé en 1085 à Salerne (Italie)
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    Hildebrand est proclamé pape par la foule romaine et prend le nom de Grégoire VII. Cet ancien moine de Cluny s'est acquis une excellente réputation en servant les papes précédents.

    À l'aube du IIe millénaire, il réforme profondément l'Église catholique pour la rendre plus morale et surtout plus indépendante des seigneurs et des souverains. Ses mesures restent connues sous le nom de réforme grégorienne... ■

  • Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de La Fayette
    Née le 18 mars 1934 à Paris - Décédée en 1693 à Paris),
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    Romancière et épistolière du Grand Siècle.

    Marie-Madeleine Pioche de La Vergne est née dans une famille aisée et de petite noblesse, qui gravite dans l’entourage du cardinal de Richelieu.

    Sa mère se remariant avec Renaud-René de Sévigné, un oncle du mari de la marquise de Sévigné ; les deux femmes, qui ont huit ans de différence, deviendront pour toujours « les plus chères amies du monde ».

    En 1655, âgée de 21 ans, elle épouse François Motier, comte de La Fayette, de haute noblesse auvergnate, frère de la célèbre Louise de La Fayette et neveu de François de La Fayette, évêque Limoges.

    Sur les encouragements de Segrais et de Ménage, qui lui tiennent lieu de véritables conseillers littéraires, Mme de la Fayette décide de prendre la plume. Définitivement établie à Paris en 1659, la seule œuvre qu'elle signera de son nom est un court portrait de Mme de Sévigné figurant dans un ouvrage collectif intitulé Divers portraits.

    L'œuvre la plus célèbre de Marie-Madeleine de La Fayette est La Princesse de Clèves, d’abord éditée par un de ses amis en mars 1678. Cette œuvre, dont le succès est immense, passe souvent pour être un prototype du roman d'analyse psychologique. ■

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